Thursday, November 29, 2007

Voyage en France


Je rentre dùn voyage à Paris et en Lorraine où j'ai pu allier le travail au plaisir de revoir la famille. Paris, sous le froid, le crachin et en grêve. Pas de Metro. Aurai-je mon TGV pour Thionville? Les billets sont aussi cher dque l'avion, mais messieurs les grévistes décident de mon droit à voyager!
Seulement quelques mois après avoir élu un président qui applique sews promesses , les différentes corporations accrochées à leurs privilèges s'accrochent et tiennent le pays en otage pendant 2 semaines. Les pertes économiques? Les francais, économiquement anlphabètes, ne calculent pas. Les riches payeront.
A nouveau, la Démocratie parlementaire est bafouée. Au lieu de débattre les lois à l'Assemblée, la rue décide.
A peine rentré, je vois que les émeutes de banlieue ont repris, mais cette fois semblent bien organisées. A l'avance. Là aussi, le pendule est allé trop loin. Il est temps de faire moins de 'social' et d'arrêter les criminels. L'invitation exclusive d'Al Jazeera aux funérailles des jeunes victimes de l'accident est révélatrice de la manipulation.

Friday, November 09, 2007

De Washington à Bruxelles



Washington:
Nicolas Sarkozy est passé à Washington. Passé complétement inaperçu pour 99,99% des américains. A part les spécialistes de la France, peu de mes nouveaux compatriotes ont su que lìllustre président français était en visite officielle. Il a rendu visite à G.W. Bush , un collègue au déclin précipité, qui ne recueille plus que l'affection de 28 % de ses administrés. (Si l'on enlève les 25% de la population que représente le bloc des dévôts qui vote automatiquement pour lui parce qu'il reçoit ses ordres directement de Jésus, ça fait peu.)
Les grands media l'ont ignoré. Les spécialistes, eux se sont trompés. Ils pensent avoir trouvé un remplaçant pour Tony Blair. Super Sarko, quant à lui, a fait une belle déclaration d'amour à l'Amérique et il a eu raison. Il a bien dépeint le lien culturel qui nous unit. il a raison de réintégrer la France dans l'OTAN. Et c'est vrai que si ça n'avait pas été pour le sacrifice de jeunes doughboys en 1917 et GIs en 1944, la guerre n'aurait pas été gagnée. Il faut toujours le rappeler.
Et honte aux malcontents professionnels de la gauche qui auraient préféré que la France continue de se faire plus grosse que le boeuf et poursuive ses jappements de roquet pour se donner l'impression d'être le contrepoids des USA.

La Belgique.
Un pays chaleureux , rencontre entre la latinité romane et le germanisme flamand. Cétait un exemple de la cohabitation possible. Elle est aujourd'hui au bord de la scission. Éclatement voulu par des flamingants fascistoides, et des politiciens sans envergure. Les Belges et leur Roi méritent mieux que ça.